vendredi 11 septembre 2015

LIPOTRANSFERT : complexe enzymatique

Révolutionnaire !
Dite NON à l'obésité !

Lipotransfer aide à contrôler naturellement son poids de forme et a également des effets bénéfiques sur l’hypertriglycéridémie (taux de triglycérides dans le sang) et l’hypercholestérolémie (taux de cholestérol dans le sang).

Le surpoids est devenu une véritable épidémie. Notre mode de vie actuelle nous fait consommer trop de graisse et trop de sucre par rapport à ce que nous avons réellement besoin pour vivre.

Les corps gras se mettent alors en réserve dans le tissu adipeux. Les corps gras, quels qu’ils soient, sont des triglycérides, c’est-à-dire 3 acides gras fixés à une molécule de glycérine (c’est pourquoi on dit tri glycéride).

Ces triglycérides provenant de l’alimentation ne sont pas assimilables tels quels. En effet, leurs molécules sont trop grosses pour traverser la paroi de l’intestin et parvenir au sang circulant.

Il faut donc les hydrolyser en petites molécules grâce à nos enzymes intestinales, les lipases, qui les décomposent ainsi :

Di glycérides
Mono glycérides
Acides gras libres

Tous ces corps gras sont alors assimilables et pénètrent dans les cellules de l’intestin où vont se produire les réactions métaboliques de reformation des triglycérides.

C’est ainsi que les grosses molécules de triglycérides, non assimilables en l’état et insolubles dans le sang vont intégrer des transporteurs, les chylomicrons, pour être véhiculées dans la circulation sanguine. Ceux-ci vont déposer des corps gras un peu partout dans l’organisme pour aboutir enfin aux adipocytes (cellules de graisses) et former le tissu adipeux.


Résultats d’une consommation trop importante en graisses :

Pas assez d’acides gras sont libérés et disponibles pour être utilisés comme carburant direct pour les muscles et le coeur,
Moins d’énergie, frilosité, moins d’entrain et de satisfaction que l’on peut ressentir quand on a bien mangé,
Hausse du taux de cholestérol dans le sang et augmentation des graisses de réserve (difficiles à éliminer par la suite).


Pour limiter la re-synthèse des Triglycérides après la digestion et réduire le stockage de surcharge graisseuse, le Complexe Enzymatique Hypolipémiant spécifique de LIPOTRANSFER (Protéases et Lipases) va permettre :

D’obtenir des acides gras libres et métabolisables de suite,
De donner de l’énergie à tout l’organisme dès la digestion,
Grâce aux acides gras circulant dans le sang, de donner un sentiment de contentement et calmer la faim,
Et surtout, LIPOTRANSFER va réduire fortement la reformation de triglycérides et de chylomicrons, abaisser également le taux de triglycérides sanguins après le repas, ainsi que le taux de cholestérol sanguin et la formation de dépôts graisseux au niveau des artères.


De ce fait, le tissu adipeux va perdre du volume, le surpoids diminuer ainsi que tous les problèmes éventuellement associés.

LIPOTRANSFER aide à contrôler naturellement son poids de forme et a également des effets bénéfiques sur l’hypertriglycéridémie (taux de triglycérides dans le sang) et l’hypercholestérolémie (taux de cholestérol dans le sang).

jeudi 15 novembre 2012

Le Diabète

Diabète : qu'est-ce que c'est ?

diabète
Le diabète est une maladie inguérissable qui survient lorsque le corps ne parvient pas à utiliser convenablement le sucre (glucose), qui est une énergie indispensable à son fonctionnement. 

Le glucose, mal ingéré par les cellules, s'emmagasine alors dans le sang et est ensuite déversé dans l'urine. Cette concentration anormalement élevée de glucose dans le sang se nomme hyperglycémie. 

Sur une longue durée, elle peut provoquer des complications aux yeux, aux reins, au coeur et aux vaisseaux sanguins. 

Le diabète peut découler d'une inaptitude, incomplète ou totale, du pancréas à faire de l'insuline, qui est une hormone essentielle à l'absorption du glucose par les cellules.

Il peut aussi provenir d'une incapacité des cellules elles-mêmes à utiliser l'insuline pour ingérer le glucose.

Dans ces 2 cas, les cellules étant privées de leur principale source d'énergie, il en résulte des conséquences physiologiques importantes, comme une fatigue extrême ou des problèmes de cicatrisation par exemple.

Le glucose découle de 2 sources : des aliments riches en glucides que l'on avale et du foie qui stock le glucose après un repas et le diffuse dans le sang au besoin. 

Une fois éliminer des aliments par le système digestif, le glucose passe dans le sang. 

Pour que les cellules de l'organisme puissent utiliser cette indispensable source d'énergie, elles ont besoin de l'insuline.

Les principaux types de diabète

Plusieurs formes de diabète sont dénombrées, en fonction de leur causalité :
- Les diabètes primaires : type 1, type 2, gestationnel
- Les diabètes secondaires

Les diabètes primaires

Diabète de type 1 :

Également nommé « diabète insulinodépendant » (DID) ou « diabète juvénile », un diabète de type sucré. Le diabète de type 1 émerge lorsque le pancréas ne produit plus d'insuline ou n'en produit pas assez. C'est le plus souvent un diabète insulinodépendant. C'est la cause la plus fréquente de diabète chez l'enfant, mais il peut survenir à tous les âges. Il se diagnostique selon certains critères: des infections récidivantes, une odeur acétonique de l'haleine, une déshydratation, une hyperglycémie asymptomatique, etc...
Il atteint environ 10% des diabétiques.

Diabète de type 2 :

Souvent désigné sous les noms de « diabète non insulinodépendant » ou « diabète de l'adulte ». Le diabète de type 2, touche le plus souvent des individus en surpoids ou obèses, qui ont des antécédents familiaux de diabète du même type. Chez la femme, la cause été précédé de diabète gestationnel (diabète transitoire pendant les grossesses), ou plus souvent de gros bébés. Il est le plus souvent non-insulino dépendant, mais un traitement par insuline peut être utile pour la maîtrise de l'équilibre glycémique. Le diabète de type 2 s'associe souvent à d'autres facteurs de risque cardiovasculaire, comme l'hypertension artérielle, la répartition androïde des graisses, l'hypertriglycéridémie et la baisse du taux du cholestérol-HDL. Cette forme de diabète représente près de 80% des cas de diabète. Son incidence augmente, en conséquence des modifications du mode de vie (sédentarité, alimentation hypercalorique, hyperlipidique). On dit plus souvent que ce diabète est un diabète âgé.

Diabète gestationnel :

Le diabète gestationnel est un diabète qui naît pour la première fois chez certaines femmes pendant leurs grossesse. Il est défini par une intolérance au glucose à cause de la production d'hormones placentaires, provoquant une insulinorésistance qui entraîne une hyperglycémie. Le diabète gestationnel peut être isolé car il ne survient que pendant les grossesses. Souvent, le diabète gestationnel n'est que temporaire et disparaît peu après l'accouchement.

Les diabètes secondaires

Les autres formes de diabète sont beaucoup plus rares, représentant chacune quelques pourcent des cas :
- les diabètes de types MODY (Maturity Onset Diabetes in the Young) ;
- les diabètes secondaires à des maladies du pancréas ;
- les diabètes secondaires à des maladies endocrines, dont le syndrome de Cushing, l'acromégalie, le phéochromocytome, l'hyperthyroïdie, l'adénome de Conn, etc. ;
- les diabètes secondaires à des maladies du foie, cirrhose ;
- les diabètes secondaires à des mutations de l'ADN mitochondrial : syndrome de Ballinger-Wallace ;
- le diabète lipoatrophique ;
- les diabètes associés à des médicaments, en particulier les corticoïdes9, les diurétiques, les antipsychotiques (comme risperdal, zyprexa), les immunosuppresseurs de la famille des inhibiteurs de la calcineurine, etc.

Les effets du diabète sur la santé

Les conséquences du diabète peuvent être lourdes et dangereuses pour la santé. Le diabète est un facteur de risque important de maladies cardiovasculaires, infarctus, insuffisance cardiaque, artérite, accident vasculaire cérébral, de neuropathie, ou encore de troubles micro-angiopathiques pouvant conduire à la cécité (rétinopathie), à une insuffisance rénale chronique (néphropathie). Il a été aussi clairement défini comme un facteur de risque majeur prédisposant à la maladie parodontale. Le diabète est une maladie aggravant l’invalidité, provoquant la diminution de l’espérance de vie, et engendrant de forts coûts médicaux.

Phytothérapie et diabète

Aucun traitement du diabète ne peut se passer de la diététique. Aucun traitement naturel ne pourra remplacer les anti-diabétiques chimiques. Mais la phytothérapie à sa place dans la prise en charge du diabète, surtout au début de la maladie, avant que le traitement des médicaments de synthèse ne devienne incontournable.

La seule plante ayant prouvé de manière certaine un intérêt dans le diabète est le Ginseng. La prise de 1 gramme de Ginseng avant un repas permet de réduire significativement la glycémie qui suit ce même repas. Le Ginseng est efficace s'il est pris maximum 2h avant le repas.

D'autres plantes médicinales seront utiles en cas de complications. Le Ginkgo Biloba possède 3 proprétés intéressantes dans un diabète :
- Il est riche en antioxydants qui ralentissent les phénomènes de vieillissement ;
- C'est un protecteur vasculaire utile dans une maladie très agressive pour les petits vaisseaux ;
- C'est un excellent anti-stress.

mardi 23 octobre 2012

Levure de riz rouge

Levure de riz rouge

Aide à réguler votre cholestérol 

On sait qu’en l’an 800 avant notre ère, les chinois connaissaient déjà la levure rouge de riz. Ils lui attribuaient la propriété de favoriser une bonne circulation du sang et de soulager l’indigestion et la diarrhée. 

La levure rouge de riz est le produit d’un champignon microscopique élevé sur du riz. Ce micro-organisme, Monascus purpureus, produit un pigment rouge caractéristique qui a donné son nom à la levure. C’est donc la levure qui est rouge et non le riz.

La levure rouge de riz contient des composants naturels qui inhibent la synthèse du cholestérol.

Mais c’est au cours des années 1990 que la levure rouge de riz fut introduite en Amérique du Nord comme supplément alimentaire ayant la propriété de faire baisser le taux de cholestérol qui est une graisse naturelle indispensable à l’organisme.

La levure de riz rouge (Monascus purpureus), qui contient une statine naturelle a une efficacité démontrée sur le taux de cholestérol.

Les statines ont prouvé une réduction significative du risque de survenue de maladies cardio-vasculaires.

Les propriétés de la Levure de Riz Rouge EspritPhyto sont confirmées par de nombreuses études démontrant qu'elles contribuent à faire baisser les taux de cholestérol et de triglycérides, tout en augmentant le bon cholestérol.


 




   

lundi 15 octobre 2012

EspritPhyto - Ail - 120 Gélules

EspritPhyto - Ail - 120 Gélules

Bien-être Circulatoire, Fonctions Cardiovasculaires, Cholestérol

 

L’Ail est traditionnellement utilisé dans les troubles légers de la circulation sanguine et en complément de mesures diététiques en cas d'hyperlipidémie. C'est le produit pour la jeunesse des artères par excellence.

Un très grand nombre d’études ont été réalisées afin de mieux connaître les principes actifs de l’ail et leurs effets physiologiques. Antibactérien, antimycosique, cardioprotecteur, hypotenseur (dilatation des vaisseaux), inhibiteur de l’agrégation plaquettaire, expectorant, etc.
  • Stimule le cœur
  • Facilite la circulation
  • Épure le sang 
  • Équilibre la pression artérielle
Convient aux végétariens et aux végétaliens.

Ail :


Partie utilisée : le bulbe
Hypertension, prévention de l’athérosclérose, troubles circulatoires légers.

Histoire :


Illustre depuis la plus haute Antiquité, l’ail occupait déjà une fonction centrale dans l’alimentation des Egyptiens et des Hébreux de Palestine.

Les Egyptiens élevaient l'allium sativum au rang de divinité, capable de soutenir les efforts des bâtisseurs de pyramides et de protéger des maladies.

Kheops, roi d’Egypte de la IVe dynastie, fit même dessiner une gousse d’ail au sommet de la plus grande des pyramides de Gizeh !

L'équilibre de l'hypertension :
Une alimentation passablement abondante en ail baisse l’agrégation plaquettaire et augmente sensiblement l’activité fibrinolytique.

Ces deux effets conjugués confèrent à l’ail des vertus antithrombotiques.

Grâce à ses activités hypolipémiante et hypocholestérolémiante, l’ail prévient aussi l’athérosclérose et les accidents vasculaires qui lui sont unis (infarctus pour le coeur, hémiplégie pour le cerveau, artérite pour les jambes, etc…).

L’ail améliore ainsi la circulation sanguine, d’où son action bénéfique sur l’hypertension artérielle.

Des examins modernes ont montré que l’ail est non seulement bactériostatique mais de même et surtout antifongique.

Ainsi, la poudre de bulbe d’ail est un purificateur intestinal de grande efficacité.

Les propriétés de l’ail sont dues à des principes de nature soufrée, l’alliine et l’ajoène dont il est important de prévenir la dégradation par les sucs digestifs.

C’est pourquoi l’utilisation de poudre granulée dans des gélules enrobées est suggérée.

Elle prévient également une affligente haleine causée par la consommation de cette plante.

lundi 25 juin 2012

Phytothérapie : Les plantes au service de votre santé

La phytothérapie est une médecine réfléchi


La phytothérapie, c’est l'utilisation de médicaments végétaux pour guérir les différents maux dont vous pouvez être atteint.

A travers les siècles, les hommes ont su développer la connaissance des plantes et de leurs propriétés thérapeutiques.
Aujourd’hui, l’efficacité prouvée et les bienfaits indiscutables de la phytothérapie pour notre condition de vie lui ont permis d’entrer dans notre quotidien.
Pour que vous puissiez mieux connaître ses principes et surtout faire appel aux propriétés préventives et curatives des plantes thérapeutiques, nous avons conçu le site web www.espritphyto.com spécialisé dans la phytothérapie et les compléments alimentaires.
Il répertorie les principales plantes utilisées en phytothérapie, en décrivant leurs actions, leurs indications traditionnelles et les produits qui utilisent cette plante.
Désormais, vous pourrez seul ou avec le conseil professionnel de phytothérapie en l'appelant au 0800 914 313, choisir des traitements pour vivre mieux au jour le jour.

La phytothérapie : la médecine au naturel


Les plantes naturelles ont toujours été connues pour leur propriétés nourrissantes, mais aussi pour leurs vertus curatives.
Le premier texte écrit sur la phytothérapie est gravé sur des plaquettes de la civilisation sumérienne, 3000 ans avant Jésus-Christ.
Durant des milliers d’années, la médecine douce a constitué la principale source de remèdes.
Avec l’avènement de la médecine logique et la découverte de médicaments miracles comme les antibiotiques, la phytothérapie commença à perdre de sa réputation.
Mais les effets secondaires de ces nouveaux médicaments se sont vite révélés et les gens ont recommencés à s’intéresser aux plantes et à la phytothérapie.

Depuis les années soixante-dix, l’usage des plantes à des fins médicales rencontre un couronnement incontestable.
Plus qu’un effet de mode, il manifeste une volonté de retour vers la nature et s’appuie sur des bases solides et scientifiquement contrôlées.
De nos jours, l’identification de nouveaux principes actifs, la découverte de nouvelles propriétés pharmacologiques, et les effets néfastes de certains médicaments de synthèse ont contribué à faire de la phytothérapie une médecine à part entière et à faire comprendre que les plantes pouvaient être de tangible médicaments sans effets nocifs pour la santé.

mercredi 11 avril 2012

Colarthrogen : Collagène et Acide Hyaluronique

Avec Colarthrogen, retrouvez souplesse et confort articulaire !

Collagène : Le collagène est une famille de protéines, le plus souvent présente sous forme fibrillaire. Elle est présente dans la matrice extra- cellulaire des organismes. Ces protéines ont pour fonction de conférer aux tissus une résistance mécanique à l'étirement. Contrairement à l’élastine présente aussi dans les tissus conjonctifs, le collagène est inextensible et résiste bien à la traction. Il existe différents types de collagène selon l'organe considéré. Il est notamment indispensable aux processus de cicatrisation.

Acide hyaluronique : L'acide hyaluronique aide à protéger les articulations en augmentant la viscosité du liquide synovial et en rendant le cartilage plus élastique. L'acide hyaluronique est présent naturellement dans divers tissus du corps, comme la peau, le cartilage. Il est donc adapté aux applications biomédicales visant ces tissus. Le premier produit biomédical à base d'acide hyaluronique, Healon, a été développé dans les années 1970 et approuvé pour des usages en chirurgie ophtalmique. L'acide hyaluronique est également utilisé pour traiter l'arthrose du genou. De tels traitements sont administrés sous forme d'injections telles qu'Ostenil (TRB Chemedica) dans l'articulation du genou afin d'augmenter la viscosité du liquide synovial et de lubrifier ainsi l'articulation.

Une Articulation ?

Une articulation est la jonction entre deux os. Le corps humain comporte plus de 300 articulations. De ce fait, plusieurs pathologies touchent les articulations (Arthrite, Arthralgie, Arthrose, Hyperlaxie, Rhumatisme, Périarthrite scapulohumérale, etc...). Chez l'homme et la femme, les problèmes articulaires sont la principale cause lié à la mobilité. Au-delà de 50 ans la probabilité d'être confronté à des dysfonctionnements articulaires est supérieure à 50%.






 Les problèmes articulaires

Un Français sur 4 après 25 ans se plaint d’articulations inconfortables et peu mobiles. Et plus on avance dans l’âge plus le problème peut s’accentuer.

Dès 40 ans, le renouvellement du cartilage se fait de moins en moins bien et sa qualité commence à diminuer, il s'use progressivement et peut disparaître. Ainsi débute la dégénérescence des cartilages.

Couvrant les 2 extrémités osseuses de l’articulation, le cartilage aide à protéger les os en éliminant le risque de frottement et en amortissant les chocs permettant ainsi la mobilité et la stabilité de l’articulation.

Outre les bienfaits protecteurs du cartilage, l’articulation est composée de liquide synovial qui lubrifie et nourrit les cartilages des os, leur permettant de glisser sans risque de frottement.

Les facteurs qui accentuent le risque d’apparition de problèmes articulaires sont l'âge, l'obésité, le sport, l'activité professionnelle, l'hérédité, les accidents articulaires, etc...




 Retrouvez des articulations saines et souples

Aujourd'hui, la solution pour ralentir l'usure du cartilage, entretenir la souplesse, le confort articulaire et améliorer son élasticité, serait d'augmenter la viscosité du liquide synovial, avec le collagène et l'acide hyaluronique.

Et pour cela, rien de plus facile, il suffit de prendre du Colarthrogen.

Monapharm - Colarthrogen : Collagène et Acide Hyaluronique

Le Collagène est une protéine importante de l'organisme, il représente environ 30% du tissu conjonctif.

Il assure la cohésion, l'élasticité, la régénération de tissus et il favorise la cicatrisation. on le rencontre dans les os, la peau, les tendons, la cornée et les organes internes : il peut être considéré comme une sorte de ciment des cellules.

Bien absorbé dans sa forme poudreuse, l'hydrolysat de Collagène s'avère être si efficace que des milliers de personnes ont vu leurs douleurs diminuers significativement. L'acide hyaluronique, qui est un Collagène structuré, facilitera la fixation de l'hydrolysat de Collagène sur les fibres tendineuses.

De plus il est reconnu depuis de nombreuses années que l'hydrolysat de Collagène améliore l'hydratation de la peau, lui donne de la souplesse et réduit les rides profondes. Quant à l'acide hyluronique, il est désormais couramment utilisé comme ingrédient de produits de beauté en raison des propriétés hydratantes.

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jeudi 12 janvier 2012

Phytothérapie

La phytothérapie aujourd'hui

Un champ de découvertes de grandes molécules
  • La phytothérapie dispose d'un arsenal impressionnant de préparations à base de plantes qui ont été utilisées pendant des siècles en Europe et par les médecines traditionnelles de Chine, d'Inde, d'Amérique du Sud et d'Afrique.
  • Un "réservoir" potentiel d'environ 300.000 espèces végétales dont 70% restent à étudier est à la disposition des chercheurs.
  • Les moyens analytiques actuels permettent de s'attaquer à ce gigantesque chantier : les techniques de criblage et quelques tests simples permettent d'analyser des milliers d'espèces végétales et d'identifier les substances actives qu'elles renferment en un temps record.
Le potentiel de la phytothérapie
Si la phytothérapie est une activité ancienne, c'est aussi et surtout une pratique actuelle puisque 80% de la population mondiale l'utilise quotidiennement. C'est encore aujourd'hui la forme de médecine la plus répandue à travers le monde.
Malgré des millénaires d'expérience, la phytothérapie n'en est probablement qu'à ses débuts si l'on considère le potentiel dont elle dispose : plus de 800.000 espèces végétales poussent à la surface du globe, on en connaît 250.000, l'OMS a répertorié plus de 22.000 plantes utilisées par les médecines traditionnelles, environ 1.200 plantes sont inscrites à la pharmacopée française alors que quelques centaines seulement sont utilisées couramment.
Le futur
La recherche de nouveaux constituants actifs va se poursuivre. Les efforts vont porter essentiellement sur la détermination la plus précise possible des profils chimiques et pharmacologiques des extraits ou de leurs combinaisons et la rationalisation de leurs effets thérapeutiques.
L'utilisation de la phytothérapie en remplacement ou en association avec des spécialités synthétiques devrait se développer parallèlement à leur capacité à prouver leur efficacité thérapeutique.
La Phytothérapie s'inscrira pleinement dans l'évolution générale de la stratégie médicale en faveur des multi-thérapies (récemment développées pour le SIDA, l'hypertension, etc.) et d'une thérapie "multi-cibles" où l'on s'attaque aussi de manière indirecte aux causes de la maladie.
La préservation du savoir
La phytothérapie se situe actuellement à la charnière entre un savoir empirique transmis et enrichi au fil d'innombrables générations et une connaissance de plus en plus précise du mode d'action des constituants actifs des plantes sur les fonctions biologiques essentielles.
Cependant, le développement des activités humaines (déforestation, pollution, destruction des modes de vie des populations indigènes) a un effet négatif sur la préservation du savoir ancestral concernant l'utilisation des plantes médicinales. Pour éviter la perte définitive de ce savoir, L'OMS et d'autres organismes internationaux se sont engagés dans un recensement des usages traditionnels des plantes, créant ainsi une nouvelle discipline scientifique : l'ethnopharmacologie.
Le but de l'ethnopharmacologie est d'établir une relation entre les savoirs ancestraux et les connaissances scientifiques. Il ne s'agit pas d'un simple recensement des plantes médicinales mais d'effectuer toutes les vérifications expérimentales et scientifiques au laboratoire des propriétés attribuées.
Des moyens insuffisants
Cette prise de conscience n'empêche pas que les moyens mis en oeuvre restent modestes dans le domaine de la recherche et du développement de la phytothérapie comparés à ceux de l'industrie pharmaceutique classique.
La raison en est évidemment simple : qui va financer à coup de millions de dollars ou d'euros des recherches démontrant l'efficacité de la racine de pissenlit pour soigner le foie sachant qu'on ne pourra jamais breveter le pissenlit afin de rentabiliser son investissement ?